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dimanche 31 janvier 2021

31-01-21 Mes vœux pour 2021 : Décideurs du sport, donnez-nous envie d’avoir envie

 Il y a un an j’ai fait un rêve

2020-01-21 ce dont j’avais révé pour l’année 2020

 

Un rêve dans lequel les acteurs du sport avaient construit une vision commune du sport comme un bien commun, un rêve dans lequel les parlementaires avaient validé un budget permettant d’atteindre les engagements pris par le gouvernement 1 du sport sous l’ère Macron : 80 médailles aux JO en 2024 et 3 millions de pratiquants, un rêve dans lequel les collectivités qui n’ont pas souhaité répartir des compétences entre elles, ni désigner de chefs de file, ont mis en place une spécialisation « à la carte » des différents acteurs, un rêve dans lequel à l’école le sport a été déclaré pratique prioritaire jusqu’aux JO, …

La crise sanitaire a transformé mon rêve en cauchemar.

 

Cette année j’ai appris que

 

-        « Le sport ne sera pas prioritaire dans notre société » selon Roxana Maracineanu  L’équipe   du 22 avril 2020

-        Qu’un tweet  était plus efficace qu’une pétition du mouvement sportif. C’est Tony Parker en alertant le président de la république qui a obtenu la réunion des acteurs du sport  à l’Élysée. Réunion qui a débouché sur une enveloppe de 400 M€. Plus efficace que la pétition du mouvement sportif qui lui, n’a jamais été reçu à l’Élysée pour parler gouvernance du sport

-        Que le sport pro n’était pas solidaire sauf le foot qui a retrouvé son unité pour taper sur Média pro. Une unité qui pourrait à nouveau exploser dans les prochains jours au vu des résultats du nouvel appel d’offre de la LFP.

-        Que l’ANS fonctionnait comme une copie conforme du CNDS « Un point n’a visiblement pas été compris. L’agence sous forme de GIP n’a pas pour objectif de distribuer les financements de l’Etat au niveau national et encore moins de reproduire le fonctionnement de l’agence nationale sur le territoire…/… Hors aujourd’hui l’agence reproduit le fonctionnement du CNDS  (Pendant le confinement, retour sur la gouvernance du sport - Épisode 4 : Une mise en œuvre chaotique (seconde partie) )

-        Que les acteurs du sport étaient capables de s’unir pour demander et gérer les moyens … communiqué de presse ANDES     mais pas pour porter une vision commune de la place du sport dans la société (aucun débat sur cette vision commune n’a encore été engagé).

-        Que la nouvelle gouvernance du sport sur les territoires aurait été trés utile pour gérer la crise sanitaire si elle avait été mise en place rapidement c’est à dire il y 2 ans conformément au rapport sur la nouvelle gouvernance du sport. 
19-12-04  Gouvernance du sport sur les territoires : une usine à gaz qui inquiète !         
  
 
20-12-23 Organisation territoriale du sport : un rapport qui ajoute des tuyaux à l’usine à gaz

-        Que le ministère des sports ne pesait pas dans les décisions de crise et qu’il avait toujours un temps de retard

-        Que l’organisation des JO allait être externalisée Les echos 3 décembre 2020   alors que depuis 10 ans on ne cesse de mettre en avant le savoir faire français dans l’organisation des évènements internationaux et l’héritage qui représente ce type d’évènements, …. nous y reviendrons mais nous préférons le choix de la coupe du monde de rugby avec Campus 2023.

-        Que les secondes lignes du sport ont été oubliées et se rebiffent   2020-11-26 La deuxième ligne du sport oubliée : ça chauffe dans les quartiers

-        Que les JO ne faisaient plus rêver les japonais (80 % des Japonais sont pour un report ou une annulation Ouest France)  et toujours pas les partenaires français  (Franc jeux )

-        Que certaines fédérations ont reçu des aides dans le cadre du fonds d’urgence alors qu’elle disposait d’un compte en banque largement fourni !  Le critère réserves financières n’était pas un critère demandé pour toucher une aide ...

-        Qu’il n’y aurait pas de loi sport et société. Les parlementaires LRM ont revu leurs ambitions à la baisse et ne parle plus que d’une loi sport et société mais d’une loi visant à démocratiser le sport en France (Assemblée nationale)

 

Il y a 6 mois j’ai fait un vœu

 

En espérant que parmi 2 scénarios :  celui de l’implosion explosion du modèle sportif français et, celui de la raison, le second s’impose.  2020-05-12 Quel sport en 2030 ? 2 scénarios post Covid 19

 

Tout en étant lucide toutefois « Le scénario implosion/explosion semble le plus vraisemblable à moins que la pandémie agisse comme un révélateur de l’intelligence collective. »  Je lançais alors  « un appel pour la création d’un grand plan de relance concerté entre tous les acteurs du sport »  tout en m’interrogeant « Les acteurs du sport sont -ls capables de se mobiliser pour se réinventer. A eux de choisir leur scénario. «

 

Puis il y a  3 mois j’ai fait un cauchemar

 

2020-11-10 Du déconfinement au reconfinement : les 6 mois qui ont marqué l’explosion du modèle sportif français

 

Les acteurs n’ont pas anticipé la seconde vague de la crise sanitaire et donc ils l’ont subie de plein fouet.

On aurait pu imaginer pendant l’été qu’un travail collectif soit conduit sous l’égide de l’Agence nationale du sport, c’est pour ça qu’elle a été créée ! C’est clairement indiqué dans ses statuts : « un modèle partenarial entre l’Etat, le mouvement sportif, les collectivités territoriales et leurs groupements et les acteurs du monde économique, dans le cadre d’une profonde évolution du modèle sportif français, dans le respect du rôle de chacun ».

Mais non rien. Aucune vision, aucune stratégie, aucune anticipation.

Un ministère des sports à la ramasse, la supplique du mouvement sportifs, le sport pro en quasi burn out, La gouvernance du sport sur les territoires : une usine à gaz sans gaz… … un CNDS territorial bis avec 10 fois moins de moyens qui coûtera 10 fois plus cher

 

Mais ce n’était pas un cauchemar c’était la réalité   « Le sport n’est qu’un mot »

 

 

Aujourd’hui j’angoisse….

 

-        Le ministère des sports est coulé. Son rattachement au ministère de l ‘éducation nationale l’a définitivement relayé aux seconds rôles. Et pourtant j’y ai cru  2020-07-07 Le sport dans l’acte II du quinquennat Macron : un casting de rêve !

-        Le mouvement sportif est en campagne. Chacun compte ses soutiens, les grandes manœuvres sont lancées pour remplacer Denis Masseglia. Mais l’important c’est de conserver son strapontin au banquet des dirigeants du sport français et continuer d’exister dans la prochaine olympiade.

-        Les collectivités sont engluées entre élection à venir, création des conférences régionales, incompréhension sur les conférences des financeurs manque de leadership au niveau national

-        L’ANS compte ses sous et définit critère sur critère pour les distribuer légitimant ainsi son administration...

-        Le secteur privé est à l’arrêt.

-        Les clubs sportifs tendent le dos pour la rentrée prochaine. Une rentrée qui permettra de vérifier si les licenciés sont de vrais adhérents militants qui ne demandent pas une ristourne au titre de la saison 2019 2020 au titre d’une saison avortée. On va pouvoir évaluer jusqu’où les clubs et les fédérations ne sont pas devenus des marchands de sport. On va pouvoir évaluer également ce que les français attendent des organisations sportives et de leur niveau d’adhésion à cette idée du bien commun.

-        Quant à la gouvernance sur les territoires tout reste à construire  Difficile de comprendre pourquoi on est arrivé à une telle complexité si ce n’est d’avoir confondu compétences et financement d’une part, concertation et décision d’autre part.  2020/02/19 [Gouvernance du sport sur le territoire] Deux confusions majeures : compétences et financements, concertation et décision ! Au final l’Etat veut s’occuper de tout sans en avoir les moyens.  De fait les collectivités tout comme le mouvement sportif ne se coalisent que pour demander des crédits à l’État alors que le mouvement sportif a récupéré l’ex part territoriale du CNDS pour construire des politiques fédérales territorialisées en lien avec les territoires…

Aujourd’hui c’est un échec alors que ces structures se voulaient agiles et réactives (ce qui aurait été adapté pour gérer la crise sanitaire) et opérationnelles pour préparer les jeux … on en est loin

 

Mais j’ai entrevu une lueur d’espoirs

 

Des lois sont en cours de vote au parlement que ce soit celle sur l’abandon de la tutelle de l’Etat au profit d’un contrôle (Loi confortant les principes de la république) , ou encore celle sur visant à démocratiser le sport en France  (Assemblée nationale)

Sur la haute performance, les lignes commencent à bouger pour passer d’une logique administrative à une logique de management.

Des avancées aussi sur le sport en entreprise où la pratique ne sera plus considérée comme un avantage en nature, sur le sport santé avec la mobilisation des acteurs sur certains territoires.

 

….  Alors pour 2021  je rêve éveillé: Donnez nous envie d’avoir envie

 

Mesdames messieurs les décideurs donnez nous envie d’avoir envie.   Aujourd’hui on ne peut plus dire c’est la faute de l’autre. L’agence nationale du sport a été créée pour porter une vision, pour donner envie de pratiquer, pour préparer l’avenir.

Plus question aujourd’hui de dire c’est la faute de l’autre (bien souvent de l’Etat) trop facile

L’Etat n’a pas la majorité au sein de l’agence que je sache

Alors prenez vos responsabilités.

Racontez nous l’histoire post Covid au moins jusqu’au JO  paris 2024. Re inventez vous. Reconstruisez le modèle sur les cendres du Covid

 

Vous avez gagné la bataille de la représentativité (au risque de totalement perdre en lisibilité),  vous avez tous une place autour de la table des décideurs. Alors maintenant menez la bataille de la légitimité et faites souffler le vent du de l’intérêt général, du partage, de la solidarité ... Reveillez-vous faites nous réver, les jeux c’est dans 3 ans et demi.

 

Être ensemble c’est fait !   Mais maintenant il faut passer d’un modèle  du être ensemble au modèle du  faire ensemble...sinon c’est faire semblant.

 

Je vous souhaite une belle année 2021.

jeudi 21 janvier 2021

21-01-21 J’avais imaginé d’autres ambitions pour la loi sport et société !

 Et pourtant ça fait longtemps qu’on en parle de cette loi sport et société.

 Annoncée en décembre 2017 par Laura Flessel pour début 2019 « je souhaite présenter début 2019 devant le Parlement un projet de loi « sport et société » visant à encourager la pratique pour tous et partout, tout au long de la vie. Une loi pour le sport du quotidien, le sport plaisir, le sport santé, le sport éthique. Une loi qui parle aux gens. »  puis par Roxana Maracineanu  avec « un projet de loi prévu fin mars 2020 ».

On aurait pu penser que cette loi qui a fait l’objet de multiples réunions avec les parlementaires soit profondément ancrée dans les besoins de la société tout juste ajustée pour prendre en compte la crise sanitaire, une loi travaillée une loi ciselée où chaque article aurait été pesé…

 C’est raté

 La proposition de loi doit être déposée par les députés la REM avant la fin du mois pour pouvoir passer dans une fenêtre parlementaire en mars.

Cette fameuse proposition de loi tant attendue que nous nous sommes procurés en off ( ne cherchez pas elle n’est pas sur le site de l’assemblée) comprend (comme nous l’annoncions la semaine dernière) 11 articles organisés en 3 titres.

«  Le titre I est relatif an développement de la pratique pour le plus grand nombre

L'article 1 propose d'intégrer le sport dans les missions des établissements sociaux et médico-sociaux (ESMS).

L'article 2 vise à faciliter l'accès aux équipements sportifs scolaires actuels et futurs aux utilisateurs extérieurs

L'article 3 vise à proposer aux collectivités territoriales volontaires d'élaborer des plans sportifs locaux, plans qui nourriront les diagnostics territoriaux.

L'article 4 complète les missions de la conférence régionale du sport en ajoutant le sport santé et les savoirs sportifs fondamentaux.

Le titre Il est relatif au renouvellement du cadre de la gouvernante des fédérations

L'article 5 met en place la parité intégrale au sein des instances nationales et déconcentrées des fédérations.

L'article 6 modifie les modalités d'élection de la présidente ou du président ainsi que de son conseil d'administration par les clubs qui la composent.

L'article 7 limite au nombre de 3 les mandats de présidence d’une fédération.

L'article 8 garantit l'honorabilité des acteurs du sport.

Le titre III est relatif au financement du modèle sportif

L'article 9 Inscrit dans la loi la plateforme de lutte contre la manipulation des compétitions sportives

L'article 10 renforce les dispositions visant à lutter contre le streaming illégal

L'article 11 ouvre les sociétés sportives au modèle de l'économie sociale et solidaire »

 

Et pourtant la loi on l’avait écrite (cf page 108 à 118 du rapport gouvernance du sport  https://www.sports.gouv.fr/autres/Gouvernance_Rapport.pdf  ). Une rédaction qui portait une vision, qui prenait en compte tous les débats sur la nouvelle gouvernance sur l’évolution des pratiques, sur l’adaptation du cadre législatif et réglementaires aux formations, …

Si la vision du sport dans la société des députés (La REM)  se résume à ces 11 articles alors oui Mme la ministre avait raison de dire que « le sport ne sera pas prioritaire dans notre société » https://www.lequipe.fr/Tous-sports/Actualites/Roxana-maracineanu-le-sport-ne-sera-pas-prioritaire-dans-notre-societe/1129086  . Que ce soit au gouvernement ou dans la majorité !

Comme si l’Etat souhaitait se dessaisir du sport qui ne serait plus un bien commun et qui deviendrait un bien accessoire voire périphérique.

 

C’est à pleurer. Difficile cependant d’imaginer que ce texte se retrouve à l’agenda parlementaire …

20-12-23 Organisation territoriale du sport : un rapport qui ajoute des tuyaux à l’usine à gaz

 

Le 30 janvier 2020, le Premier ministre confiait à Benjamin Dirx « une mission d’appui à la mise en œuvre de la nouvelle organisation territoriale du sport ». La commande était claire :

- analyser à l’échelle régionale les leviers pour la réussite de la réforme ;
- identifier à partir d’un état des lieux de la gouvernance actuelle dans chaque région la qualité, les niveaux et modalités de fonctionnement des concertations existantes entre les différents acteurs ;
- étudier les bons niveaux de déploiement des conférences des financeurs ;
- repérer les productions réalisées ou en cours de réalisation dans chaque région de nature à faciliter l’élaboration d’un projet sportif territorial.

Le rapport a été remis le 17 décembre dernier à à Roxana Maracineanu. Pour cette mission, qui a été conduite conjointement avec Patrick Doussot, vice-président de l’office du tourisme du Touquet, 55 entretiens ont été menés en 3 mois, prés de 170 personnes auditionnées. Impressionnant. Pour autant la mission ne répond pas aux questions posées par le Premier ministre… Aucune analyse par région malgré des entretiens conduits avec la quasi totalité d’entre elles.  La lecture du rapport laisse perplexe. Il s’articule autour de 3 axes et de 16 propositions (lire en encadré ci-dessous).

On attendait de ce rapport qu’il repère les bonnes pratiques pour, comme le stipulait le courrier du Premier ministre, « mieux connaître les travaux conduits et contribuer ainsi à l’organisation et aux modalités de fonctionnement des conférences régionales du sport et des conférences des financeurs mises en place à l’échelon qui paraîtra pertinent aux acteurs du sport ».

Un rapport qui ajoute de la confusion à la complexité

En effet les rapporteurs proposent d’élargir encore la conférence régionale du sport avec une représentation de l’ensemble des Comités départementaux olympiques et sportifs (CDOS), une association des acteurs économiques et sportifs propres à chaque territoire, une participation étroite des acteurs sportifs non-licenciés et des élus en charge de mission connexe au sport  (transport, tourisme, santé, ...) au sein des conférences régionales du sport (CRS) sans oublier de traiter spécifiquement la thématique formation au sein de la CRS. A noter que des personnes mentionnées sont déjà dans la CRS.

Sans oublier une cellule d’expertise, composée de personnes qualifiées désignées par les différents collèges de la CRS et qui refléterait ainsi la collégialité de la nouvelle gouvernance du sport, pourrait être mise en place au sein de chaque CRS. «  La mission considère qu’il est important qu’un chef de file émerge afin d’acter des décisions prises en CRS et porter des politiques sportives ambitieuses. »

On aurait pu attendre de la mission qu’elle cite des exemples : des chefs de file autour des thématiques du projet sportif par exemple, autour de compétences, rien. La mission ne propose aucune réflexion et manie parfaitement la langue de bois : « S’il existe, ce chef de filat devra être exercé par une personnalité et une institution disposant d’une légitimité reconnue permettant de disposer d’une capacité d'entraînement sans exposer au risque de démotivation des autres partenaires qui se percevraient en second rang. Ainsi, ce chef de filat pourrait revenir à une personne émergeant d’un des quatre collèges, sans distinction. »

Pire elle entretien la confusion entre chef de file et président de la CRS :  « Afin d’incarner un projet sportif territorial, il semble souhaitable que la présidence de la conférence régionale du sport soit assurée par une personnalité qui émergerait après création d’un consensus et qui serait de nature à rassembler, afin de porter les propositions construites collectivement. Tout en soulignant que « l’action des conseils départementaux est tout à fait importante » et qu « il apparaît clairement que le bloc communal est l’échelon porteur de toute politique sportive ».

Des conférences des financeurs par nécessité de projet ! Rien ne change

« Encore davantage que pour les CRS, la mission préconise une plus grande souplesse dans la composition des conférences des financeurs sans la cantonner à une échelle géographique, mais en la rattachant à un projet «  Pour la mission «  c’est donc bien le projet et sa taille qui permettront de réunir les acteurs concernés au sein d’une conférence des financeurs qui lui sera dédiée. » Si on comprend bien, on continue comme aujourd’hui, pour chaque projet on fait le tour de table des financeurs.

Les 16 propositions de la mission menée par Benjamin Dirx et Patrick Doussot :

Axe 1 : Organisation des conférences régionales du sport : Souplesse et adaptabilité au territoire
n°1 Représenter l’ensemble des Comités Départementaux Olympiques et Sportifs (CDOS) au sein des CRS
n°2 Associer acteurs économiques et sportifs propres à chaque territoire
n°3 Associer étroitement les acteurs sportifs non-licenciés au sein des conférences régionales du sport
n°4 Encourager l’émergence d’un chef de file par les CRS pour porter une politique ambitieuse
n°5 Associer le niveau départemental aux travaux de la CRS
n°6 Travailler en commissions thématiques différenciées selon les territoires
Axe 2 : La mise en œuvre de politiques sportives ambitieuses pour les territoires
n°7 Établir un diagnostic précis, une base préalable à toute construction de projet sportif territorial
n°8 Valoriser la thématique de la formation au sein des CRS
n°9 Élargir les CRS aux élus en charge de mission connexe au sport
n°10 Instituer une « commission d’expertise » de la conférence régionale du sport, composée d’experts désignés par ses différents collèges (collectivités territoriales, État, mouvement sportif, acteurs économiques)
n°11 Créer un outil informatique collaboratif à disposition des collectivités territoriales et des pratiquants
 n°12 Assurer l’articulation des projets sportifs fédéraux avec le projet sportif territorial de chaque région
n°13 Assurer une large publicité des travaux de chaque conférence régionale du sport
Axe 3 : Conférences des financeurs du sport et financement territorialisé de la politique
sportive
n°14 Attendre le bon fonctionnement de la conférence régionale du sport pour la mise en place éventuelle des conférences des financeurs
n°15 Mise en place de conférences des financeurs du sport par nécessité de projet
n°16 Décentraliser au niveau des CRS l’ensemble de la part territoriale des crédits de l’agence